Construire une extension : les 6 règles à connaître
🏠La maison que l'on aime ou celle que l'on s'apprête à acheter a parfois besoin d'un peu plus d'espace. Réaliser une extension est alors la meilleure solution. Pièce supplémentaire de plain-pied, extension sur plusieurs niveaux ou surélévation de toiture... Les configurations possibles sont presque infinies
1. Recours à l'architecte : y penser même quand la loi ne l'impose pas
Vous devrez faire appel à un architecte pour votre projet d'extension si la surface totale du projet (après travaux) dépasse 150 m2.
2. Identifier les contraintes, en faire des forces !
Construire une extension revient à jongler avec un ensemble de contraintes : les règles d'urbanisme et le respect des limites de propriété, l'orientation de la parcelle et son environnement, l'emprise au sol disponible, la nature du terrain ou les dénivelés. Les voyants sont rarement tous au vert !
3. Oser les formes contemporaines
Chaque période a son propre langage architectural et on peut être bien dans son temps tout en respectant un bâti ancien ou un caractère régional. Les matériaux ont un rôle à jouer dans ce dialogue. Le zinc est à la fois traditionnel et adapté aux lignes contemporaines."
N'hésitez donc pas à miser sur les codes d'aujourd'hui, comme les toitures plates ou les lignes pures mais attention, contemporain ne veut pas forcément dire cubique !
4. Connaître les bases de la règlementation thermique
Pour les extensions de petite taille (moins de 150 m2 et moins de 30% de surface SHONRT créée) une réglementation thermique "allégée" s'applique, beaucoup moins contraignante que pour les bâtiments neufs et exempte d'étude thermique.
Rappelons que la SHONRT est la somme des surfaces de planchers de chaque niveau, après déduction des surfaces non chauffées (comme le garage, un sous-sol ou des combles non aménagés, une véranda non chauffée).
Pour les extensions de grande taille (≥150 m2 ou ≥30% de SHONRT créée), il faudra se conformer aux exigences de la RT 2012, c'est-à-dire atteindre un niveau de performance fixé par les textes, en matière d’isolation et de production énergétique.
Certes, c'est une sacrée contrainte, notamment parce qu'il faudra passer par une phase d'étude thermique. Mais vous gagnerez une maison ultra-performante, très peu consommatrice d'énergie et peu émettrice de gaz à effet de serre (GES).
5. Connaître les bases de la règlementation thermique
La RT des bâtiments envisage le cas des extensions).
Pour les extensions de petite taille (moins de 150 m2 et moins de 30% de surface SHONRT créée) une réglementation thermique "allégée" s'applique, beaucoup moins contraignante que pour les bâtiments neufs et exempte d'étude thermique.
Rappelons que la SHONRT est la somme des surfaces de planchers de chaque niveau, après déduction des surfaces non chauffées (comme le garage, un sous-sol ou des combles non aménagés, une véranda non chauffée).
Pour les extensions de grande taille (≥150 m2 ou ≥30% de SHONRT créée), il faudra se conformer aux exigences de la RT 2012 c'est-à-dire atteindre un niveau de performance fixé par les textes, en matière d'isolation et de production énergétique.
Certes, c'est une sacrée contrainte, notamment parce qu'il faudra passer par une phase d'étude thermique. Mais vous gagnerez une maison ultra-performante, très peu consommatrice d'énergie et peu émettrice de gaz à effet de serre (GES).
6. Comprendre les règles d'urbanisme
Le plan local d'urbanisme (PLU) de votre commune définit des règles à suivre. Il peut limiter l'emprise au sol, la hauteur de l'extension, son volume, l'implantation par rapport aux limites séparatives voire interdire certains coloris.
đź‘Ą Nous espérons que ces conseils vous serviront lors de votre projet d’agrandissement ! Nous sommes là pour répondre à toutes vos questions et à vous aider lors de votre projet. Contactez-nous au 07 49 88 48 46
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